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Bienvenue chez moi

14 juin 2014

diaporama 2011 MA FAMILLE

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Diapo de ma famille à Noël 2011

 

 

 

 

 

 

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Diapo de mes enfants Noël 2011

 

 

 

 

 

 

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12 avril 2014

Histoir du Mistral, vent de la Provence

Il existe bien des légendes sur ce vent qu'est le mistral.

Bien qu'il soit le maître de tous les vents, il n'en demeure pas moins qu'il hante la Provence, balayant les terres de son souffle.

On dit que le mistral est un vent grincheux et impérieux.
Certains prétendent qu’il prit naissance au sein des marais du Vivarais sous l'arche géante d'un rocher ajouré, d'où surgissait son bruit sonore. Là il se gonflât et amplifiât ses tourbillons. Il renfonçât ses bourrasques avant de partir en rafales.

le Mistral soufle au large de Marseille

Inquiets devant ses imprévisibles accès de colère, des villageois décidèrent un jour de le "barricader". Pendant que le mistral était calme, les habitants clouèrent sur chaque pilier du bloc, de solides planches, très dures et très épaisses que des menuisiers avaient coupées dans des troncs d’oliviers centenaires, il y a bien des années de cela. Elles avaient été rabotées, poncées et taillées, si bien qu'elles avaient acquis une solidité à toute épreuve.

A son réveil, le mistral se mit à souffler sur ces planches, mais elles résistèrent à sa force ravageuse et à ses accès de colère. Le mistral fût prisonnier et ne put donc plus s'évader.

Le Mistral, très fâché, dit aux villageois : 

"- Quand je parviendrai à me libérer, je déracinerai tout sur mon passage, les tuiles, les arbres, les clôtures. Il ne restera rien!"

"- Raison de plus, pour te laisser enfermé..." s'écrièrent les villageois.
"- Je vous maudis !" Dit le mistral. "Que tout soit désolation. Que vos terres soient infestées de moustiques. Que l'eau soit en putréfaction et que vos maisons soient sales. Que les fièvres fassent périr vos enfants et vos vieillards ! Ainsi vous regretterez vos agissements..."

L'été venu, une chaleur insoutenable s'abattit sur le Vivarais. Bientôt se manifestèrent les signes avant-coureurs d'une épidémie. Des odeurs effroyables envahirent les rues et les ruelles. Des insectes agressifs piquèrent les enfants à la peau veloutée et les anciens à la peau ridée.

Tous les malheurs du monde semblaient s'abattre sur le village.

 

 

File:Goult Vignes.jpg

 Le Mistral déchaîne les vignobles en Vaucluse

 

 

 C’est ainsi que les villageois se réunirent afin de décider s’il valait mieux libérer le vent, car son passage dans la région était finalement bénéfique.

 "- Il asséchait les terres détrempées, dirent les uns,

"- Il dissipait les nuages et les brumes étouffantes dirent les autres,

"- Il aidait aussi à mûrir les fruits", dit le Papé dont tout le monde respectait la sagesse, "et tout compte fait, il faisait du bien à la nature. Il vaut mieux être transpercés de froid et qu'il emporte quelques branches sur son passage, plutôt que de prolonger cette mauvaise plaisanterie sinon, c'est la peste qui s'abattra sur nos troupeaux.

Le mistral, qui entendit une partie des débats entre paysans prit la parole.

Il promit doucement:

 

"- Si vous me laissez sortir, je ne déracinerai pas vos arbres fruitiers, je ne ferai pas voller les tuiles de vos maisons et je ne coucherai pas les clôtures de vos jardins..."
Tous furent perplexes, mais finirent par le libérer.

Aussitôt, le mistral s'engouffra dans l'ouverture et se rua dehors. Les paysans, muets et craintifs, attendaient sans bouger.

 

le Mistral souffle jusqu'à 90 km/h 

C'est alors, qu'un enfant, s'approcha du maître des vents, et protesta:

"- Et ta promesse, alors ?"
Le vent déchaîné s'apaisa tout de suite. Subitement, il câlina les arbres, frôla les tuiles des maisons, chatouilla les clôtures des jardins.

Bientôt, les misères qu'avaient endurées les braves paysans furent reléguées au rang des mauvais souvenirs ainsi que cette histoire éprouvante et épouvantable du maître des vents.

  • Il s'en alla alors souffler ailleurs, dans la vallée du Rhône grondant et grommelant, grognant, vers les plaines du midi ... Et c'est ainsi qu'il est arrivé chez nous.

 

 

Phénomène climatique propre à la Provence, le mistral est plus qu’un vent. Il a contribué à façonner la Provence, conditionnant l’habitat, le paysage ou l’agriculture. Tantôt dévastateur, tantôt bienfaisant, c’est un élément fort de la culture méridionale, cher au cœur des Provençaux.

2 avril 2013

LE BAISER

Le baiser !
 
 
> Il venait juste de la sauver de sa maison en feu, la sortant sur le parterre avant tout en retournant combattre l'incendie. Elle attendait des bébés.
> Le pompier eut peur d'elle en la sortant parce qu'il n'avait jamais côtoyé de Doberman avant.
> Quand finalement l'incendie fut contrôlé, il s'est assis sur le gazon pour reprendre son souffle et prendre un peu de repos.
> C'est à ce moment qu'un photographe du journal "The Observer" de la ville de Charlotte, Caroline du Nord a remarqué que la femelle Doberman fixait le pompier.
> Il l'a vu s'approcher du pompier et se demandait ce qu'elle avait l'intention de faire.
> C'est alors qu'il la vit donner un baiser à l'homme qui l'avait sauvé du brasier !
> Et dire qu'il y a des gens qui pensent que les animaux sont stupides !
 
 
 
1 avril 2013

MES AMIES INTERNET

                  Petit poème créé à l'intention de mes amies virtuelles

 

Tout le monde est parti travailler

Mes enfants ont fini leur repas

Puis à l'école ils sont allés

C'est enfin mon moment à moi

 

Vite, Je m'installe devant mon ordi

Pour vous retrouver mes chères amies

Assise devant mon écran

Impatiemment je vous attend


Pour enfin pouvoir me confier

A vous qui  savez si justement

Trouver les mots apaisants

Pour le sourire retrouvé

 

Nous ne nous connaissons pas depuis longtemps

Pourtant dans ce court laps de temps,

Nous avons partagé tant de choses déjà

Nos espoirs, nos peurs, nos rêves, et nos joies

 

Nous venons de différents  horizons

Mais en commun nous partageons

Le plaisir de nous écrire nos pensées

Des petits riens, le temps qu'il fait...

 

Bien que sans nous connaitre

Vraiment qu'à travers  internet

Nous vivons une véritable amitié

A partir de nos claviers

 

Il est temps de vous dire

Merci mes  amies d'être là

Chaque fois que j' en ai  le désir

De même que pour vous. je suis là.

 

 

  CHRIS

 

 

 

                                

1 avril 2013

LES FETES DE PAQUES

                                       

 

La fête chrétienne de Pâques est la fête la plus importante dans toutes les religions chrétiennes et elle commémore la résurrection de Jésus-Christ, trois jours après sa crucifixion le Vendredi saint, marquant la fin du jeûne du carême. Pâques est le jour le plus saint du calendrier chrétien, suivi par Noël, et est reconnu comme jour férié par la plupart des pays de tradition chrétienne, à l'exception notable des États-Unis où Pâques est célébrée seulement le dimanche de Pâques (et non pas aussi le lundi de Pâques).

Pâques est fondé en partie sur la fête juive Pessah (en français la Pâque), qui commémore la libération du peuple juif de l'esclavage qu'il subissait en Égypte, car c'est lors de cette fête que Jésus est censé avoir ressuscité.

Il n’y aurait aucune mention des célébrations d’une fête annuelle chrétienne de Pâques dans le Nouveau Testament. Elle serait apparue seulement au deuxième siècle. Les Églises d'orient célébraient Pâques le dernier jour avant la pleine lune qui suit l'équinoxe de printemps (14 Nissan) commémorant ainsi la mort de Jésus. À Rome, on célébrait Pâques le dimanche jour de la Résurrection.

Une résolution fut prise lors du concile de Nicée, en 325, généralisant la date de Pâques à l'équinoxe de printemps, afin de se distinguer des juifs. À partir de ce moment, la Pâques chrétienne fut célébrée le dimanche qui suit la pleine lune, après l'équinoxe de printemps.

Le jour de Pâques marque pour les chrétiens la résurrection du Christ, il est aussi l'occasion d'offrir des oeufs. Alors, pourquoi des oeufs ?

Au concile de Nicée, Pâques a été fixé au 1er dimanche après la pleine lune suivant l'équinoxe de printemps. A cette époque devait se tenir des rites païens symbole de fertilité. Et l'oeuf est un symbole de fertilité. La tradition des oeufs peints remonterait à la Rome antique. Elle a été adaptée de luxueuse manière par les rois qui offraient à leur cour des oeufs couverts de feuille d'or. Le roi Edward I d'Angleterre le faisait déjà en 1200, bien avant Louis XIV, qui faisait aussi collecter les plus gros oeufs pondus pendant la semaine sainte.

Alors, évidemment, en plus des oeufs en chocolat, vous trouvez des poules en chocolat et des petits poussins jaunes. Bon, ça va avec ...

Images de Pâques



Il est de tradition d'offrir aux enfants des oeufs qui sont cachés dans les jardins, apportés par les cloches "qui reviennent de Rome". Les cloches des églises sont en effet muettes du jeudi saint au dimanche de Pâques ce qui leur donne le temps d'aller à Rome chercher les oeufs...

Images de Pâques



Vous trouvez également des lapins en chocolat. Là, c'est le "Easter bunny" anglais. Car le lapin, animal prolifique et sexuellement très actif, symbolisait la fertilité, particulièrement au printemps. La déesse de la fertilité des saxons -Eastre ou Ostara- était d'ailleurs représentée avec une tête de lièvre.

Images de Pâques

Au Tyrol les oeufs de Pâques ne sont apportés ni par les cloches, ni par un lapin ou un lièvre mais par une poule ! La poule ou poussin a elle aussi une origine très ancienne : il y a très longtemps, certaines personnes trouvaient très surprenant de voir ces petits êtres vivants sortir d'un oeuf qu'ils croyaient mort.

Les poussins et les poules sont le symbole d'une vie nouvelle.

Images de Pâques

On a souvent des jours pluvieux au printemps, l'eau est associée au lundi de Pâques depuis longtemps.

Autrefois, la légende disait que les jeunes filles qui se lavaient ce jour-là le visage avec de l'eau de source ou avec la rosée du matin deviendraient plus jolies.

lapinette

Dans certains pays le lundi de Pâques est plus connu sous le nom de "lundi mouillé". Les polonais s'aspergent d'eau, symbole de vie.

En Hongrie les garçons aspergent les filles de parfum. Ceci porte chance. Les filles doivent récompenser les garçons en leur donnant des œufs de Pâques.

En Angleterre, le lundi et le mardi de Pâques, les garçons vont de maison en maison transportant une chaise décorée de fleurs. Quand la fille s'assoie sur la chaise, ils la soulèvent dans les airs trois fois, cela doit lui porter chance. Elle remercie les garçons en les embrassant. Le lendemain, c'est au tour des filles de soulever les garçons.

En France comme dans beaucoup d'autres pays on se repose le lundi de Pâques.

Images de Pâques
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1 avril 2013

VIVE LA LANGUE FRANCAISE

Qu'elle est belle la langue de Molière

 

AVOIR et ÊTRE

Loin des vieux livres de grammaire,
Écoutez comment un beau soir,
Ma mère m'enseigna les mystères
Du verbe être et du verbe avoir.


Parmi mes meilleurs auxiliaires,
Il est deux verbes originaux.
Avoir et Être étaient deux frères
Que j'ai connus dès le berceau.


Bien qu'opposés de caractère,
On pouvait les croire jumeaux,
Tant leur histoire est singulière.
Mais ces deux frères étaient rivaux.


Ce qu'Avoir aurait voulu être
Être voulait toujours l'avoir.
À ne vouloir ni dieu ni maître,
Le verbe Être s'est fait avoir.


Son frère Avoir était en banque
Et faisait un grand numéro,
Alors qu'Être, toujours en manque.
Souffrait beaucoup dans son ego.


Pendant qu'Être apprenait à lire
Et faisait ses humanités,
De son côté sans rien lui dire
Avoir apprenait à compter.


Et il amassait des fortunes
En avoirs, en liquidités,
Pendant qu'Être, un peu dans la lune
S'était laissé déposséder.


Avoir était ostentatoire
Lorsqu'il se montrait généreux,
Être en revanche, et c'est notoire,
Est bien souvent présomptueux.


Avoir voyage en classe Affaires.
Il met tous ses titres à l'abri.
Alors qu'Être est plus débonnaire,
Il ne gardera rien pour lui.


Sa richesse est tout intérieure,
Ce sont les choses de l'esprit.
Le verbe Être est tout en pudeur,
Et sa noblesse est à ce prix.


Un jour à force de chimères
Pour parvenir à un accord,
Entre verbes ça peut se faire,
Ils conjuguèrent leurs efforts.


Et pour ne pas perdre la face
Au milieu des mots rassemblés,
Ils se sont répartis les tâches
Pour enfin se réconcilier.


Le verbe Avoir a besoin d'Être
Parce qu'être, c'est exister.
Le verbe Être a besoin d'avoirs
Pour enrichir ses bons côtés.


Et de palabres interminables
En arguties alambiquées,
Nos deux frères inséparables
Ont pu être et avoir été.

 

Joli non ?

 

 

LES FABLES DE jEAN DE LA fONTAINE

14 juin 2012

DEMAIN DES L'AUBE.....

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,

Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.

J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.

Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,

Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,

Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,

Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,

Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,

Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe

Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

 

Victor Hugo


POUR VOUS MES PENSEES, MES DEUX ANGES



chanté par Gérard Berliner


http://www.youtube.com/watch?v=GmFgNG6277c&feature=related





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14 juin 2012

SALAUDS AUX COEURS TENDRES PAR FRANCOIS CAVANNA

SALAUDS AU COEUR TENDRE" de François CAVANNA


 


 

 

Écoutez. Le tuer, j'ai pas le cœur. Alors, je vous l'amène. Vous, vous les tuez pas. Vous les sauvez. Un refuge, c'est fait pour ça, pour les sauver.

Alors bon, le voilà ! C'est à prendre ou à laisser. Si vous en voulez pas, j'irai le perdre dans les bois. Je l'attacherai à un arbre, pour ne pas qu'il me coure derrière, vous savez comment ils sont, paraît qu'il y en a qui ont retrouvé leur maison après des centaines de kilomètres, alors vaut mieux l'attacher et puis se sauver, pas l'entendre crier, c'est trop triste, on n'est pas des bêtes.

Bon, vous le prenez, ou vous le prenez pas ? Faut vous décider, j'ai pas que ça à faire, on n'a pas encore fini les bagages.

 

Évidemment, il ou elle le prend. Quoi faire d'autre ? Le bon salaud le sait bien.

 

Quand on gère un refuge pour animaux, c'est qu'on a le cœur tendre, qu'on ne peut absolument pas supporter l'idée qu'une bête souffre, soit abandonnée, perdue, vouée à la piqûre, fatale, ou pis, aux pourvoyeurs des laboratoires.

 

Les pseudos-amis des bêtes qui, lorsque le chien ne veut plus chasser, ou bien est devenu trop vieux, ou bien a osé donner un coup de dent au sale môme qui le harcèle, ou lorsque le mignon chaton offert pour Noël est devenu au 14 juillet, un gros matou qui a son caractère et ne veut plus jouer les nounours en peluche, ou encore lorsque "ces gentils compagnons" se mettent à être malades et coûtent "les yeux de la tête" en visites au véto, ces salopards délicats qui décident de les supprimer mais n'ont pas le courage de faire le vilain geste qui tue vont les déposer à la porte du refuge (variantes : ils les jettent par-dessus le grillage, ils enferment dans une boite en carton la chatte miaulante et ses petits...) comme on déposait jadis les nouveaux nés non désirés à la porte des couvents.

 

Fonder un refuge pour animaux est la pire façon de s'empoisonner la vie.

Non seulement cela ne peut pas rapporter d'argent (les abandonneurs ne laissent jamais de quoi acheter un peu de bouffe, cela ne leur vient même pas à l'idée), mais c'est un gouffre financier.

 

Fonder un refuge ne peut être qu'une action bénévole et précaire, un élan de révolte contre l'indifférence générale devant l'omniprésence de la misère animale. C'est le fait d'âmes sensibles qui mettent sur le même plan toute souffrance, toute angoisse, humaine ou non humaine.

 

La plupart du temps, dans le cas des petits refuges, il s'agit de gens à faibles ressources qui s'épuisent à mener un combat sans fin comme sans espoir, mais qui ne pourraient pas ne pas le mener.

Ils sont parfois aidés par de maigres subventions (dans le meilleur des cas), par la générosité de quelques adhérents, mais en général abandonnés à leurs seules ressources personnelles.

 

Un refuge est vite submergé. Là comme ailleurs, la mode imposée par les éleveurs et la publicité des fabricants d'aliments ont stimulé une frénésie d'achat dont les conséquences sont la versatilité du public et la cupidité des éleveurs et des marchands.

 

La "rentabilité" exige qu'une femelle d'une race "vendeuse" ponde et ponde jusqu'à en crever. On achète par caprice, le caprice passé on est bien emmerdé, et comme on n'est pas des tueurs on se débarrasse, au plus proche refuge.

 

Et là, c'est le chantage cynique de tout à l'heure : "Vous le prenez ou je vais le perdre". C'est exactement le coup de l'otage à qui le malfrat a mis le couteau sur la carotide : "Vous me la donnez la caisse ou je l'égorge."

 

On ne sait pas assez, même chez ceux qui considèrent l'animal comme un être vivant et souffrant à part entière (je n'aime pas dire "amis des bêtes"), quelle terrible et décourageante corvée est la gestion d'un refuge quand on dispose de peu de moyens. Pour un animal placé à grand-peine, il en arrive dix, vingt, cent !

 

Cela vous dévore la vie, vous écrase sous une conviction d'inéluctable impuissance.

 

Beaucoup de petits refuges de province luttent envers et contre tous, ignorés, méprisés, abandonnés à leurs seules ressources, et, cela va de soi, en butte aux sarcasmes des imbéciles et aux froncements de sourcils des vertueux qui jugent bien futile de s'occuper d'animaux alors qu'il y a tant de détresses humaines...

 

Et quand l'apôtre qui a englouti sa vie dans un refuge meurt ou devient impotent, que deviennent les bêtes ? Pardi, l'euthanasie en masse par les services de l'hygiène publique, pas fâchés d'être débarrassés.

 

Savez-vous que, si vous possédez plus de 9 chiens, vous devenez de ce seul fait "refuge" et devez déclarer la chose à votre mairie et à la D.S .V. (Direction des Services Vétérinaires) ? A partir de là, vous serez soumis aux inspections d'usage concernant les règles d'hygiène, de sécurité, etc.

 

En somme le bénévolat est pénalisé. Tout se passe comme si la seule voie "normale" était l'euthanasie systématique, le sauvetage étant considéré comme anormal, suspect et fortement découragé.

 

Il faut que l'animal cesse d'être considéré comme un objet, un bien "meuble" qu'on achète, qu'on vend, qu'on cède, avec à peine, quelques restrictions concernant les "mauvais traitements", d'ailleurs bien légèrement punis. Il faut que la survenue d'un animal dans un foyer soit aussi grave, aussi importante, aussi contraignante que la naissance d'un enfant.

 

C'est le formidable et trop prévu nombre d'abandons liés aux départs en vacances qui m'a mordu au cul.

 

Savez-vous qu'ils font la queue aux portes des refuges, les enfoirés, avant d'aller faire bronzer leurs gueules de sales cons ? "Avec la planche à voile sur le toit de la voiture" m'a-t-on confié.

Que leurs têtes, à ces sous-merdes, volent haut dans l'air, propulsées par les pales tranchantes des hélices des hors-bord, pêle-mêle avec celles des toréadors et des aficionados !

 

PS : Vous qui les aimez, faites les STÉRILISER ! Les laisser proliférer est criminel : ce sont ces portées innombrables qui fournissent la matière première des vivisecteurs et condamnent les refuges au naufrage

 

François CAVANNA

 


Ne m'abandonnez pas, je vous aime moi

 

 

 

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adoptez-moi, je vous aimerai toute ma vie...

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14 juin 2012

LE JOLI MOIS DE MAI

LE JOLI MOIS DE MAI

 

 

Quand nous arrive le mois de mai

Tout devient si beau à regarder

Nos arbres sont pleins de bourgeons

Nos tulipes refont leur apparition

 

 

On sent d’ailleurs que vient la chaleur

Puis on voit déjà pousser des fleurs

Dehors ça sent partout le lilas

On voit le muguet qui pousse déjà

 

 

Mois de mai, tu me remontes le moral

Quand l’hiver me donnait mal

J’avais hâte que tu me reviennes

Que de ton odeur je me souvienne

 

 

Avec toi, tout redevient beau

Je peux entendre chanter les oiseaux

Tu réveilles, tous les corps endormis

Tu fais, que l’hirondelle refait son nid

 

 

Tu redonnes à la nature, son éclat du printemps

Tu fais renaitre toutes nos fleurs des champs

Je t’aime tellement, mon joli mois de mai

C’est comme si tu étais un nouveau-né

 

 

Texte Claude Marcel Breault

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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14 juin 2012

ENTRE NOUS...

Entre Nous....!




"Une maison devient un foyer quand on peu  écrire...

 "Je vous aime" sur les meubles."

Je ne peux vous dire combien d'heures...

 J'ai passées à FAIRE LE MÉNAGE !

J'avais l'habitude d'y consacrer au moins 8 heures...

 Chaque fin de semaine m'assurant que tout était parfait

« Au cas où quelqu'un viendrait. »

Puis un jour... J'ai réalisé que personne ne viendrait.

Tout le monde était dehors à vivre sa vie et à avoir du plaisir !

Maintenant... Lorsque les gens me rendent visite...

 Je n'éprouve plus le besoin de récurer ma maison de fond en comble.

Ils sont davantage intéressés à m'écouter leur raconter...

 Ce que j'ai fait pendant que j'étais dehors à jouir de ma vie et à avoir du plaisir.

 Et si vous n'avez jamais pensé faire pareil...

 Laissez-moi vous donner ce conseil :

 La vie est courte..... Jouissez-en !

 Le monde vous attend dehors vous offrant le soleil ....

Qui brillera dans vos yeux...

 Le vent qui caressera vos cheveux...

 Un flocon de neige, une douce ondée.

Ce jour à jamais passera et ne reviendra plus.

Gardez à l'esprit que la vieillesse arrivera à son heure....

 Et que vous ne lui échapperez pas.

Et que lorsque vous partirez...

 Et vous devrez partir, rien ne l'empêchera....

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Texte trouvé sur le Net.

La vie est courte, jouissez-en







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